Transcription partielle :
« Je regrette toujours de n'avoir pas assisté à votre thèse. J'aurais été heureux de vous donner ce témoignage d'estime et de sympathie. La conversation entre Mâle et vous a d'ailleurs dû être des plus intéressantes et j'aurais eu plaisir à l'écouter. Quant à y prendre part, comme je le fais encore quelque fois quand il s'agit d'archéologie classique, je n'y pouvais songer.
Les études auxquelles vous vous livrez vous éloignent de nous. Je sais tout ce qu'elles ont de captivant et les services qu'y peuvent rendre des esprits formés par les sévères méthodes de la philologie ; mais je ne puis m'empêcher d'éprouver quelque chagrin de nous voir abandonnés par vous. Il y a, dans notre domaine, tant de problèmes qui, pour être résolus, ont besoin que s'y appliquent des esprits chercheurs et pénétrants comme le vôtre. J'espère toujours que vous nous reviendrez, au moins par moments.»
Vérifier la localisation dans l'archive. Grande note au crayon.